Naufrage: ovule ou iceberg

Avoir les yeux en face des trous demande parfois une certaine souplesse.

Quand gynécologique rime avec Titanic, tu sais que ta vie a pris, à défaut d’un iceberg, un tournant étrange.
invité
pas de bol
Doc Gynéco
IST
Auteur·rice·s

J.

PYM

Date de publication

19 juin 2023

Modifié

19 juin 2023

Note

Un peu de contexte : il s’agit du premier récit “invité” de ce blog. C’est une histoire vécue par une amie à moi qui m’est très chère, mais que je ne vois pas assez souvent. Alors quand on se voit, forcément on se raconte mille trucs… il faut dire qu’il arrive le même genre d’aventure à J. qu’à moi. Ici, l’histoire est d’elle et l’écriture de moi #travailDequipe

Il était une fois…

Comme toutes les bonnes histoires, celle-ci commence par une IST. C’est toujours plaisant comme expérience, non ?

Non.

Là par exemple, cette sympathique petite IST avait un super pouvoir. Celui de me donner des mycoses à répétition. Joie. Bonheur. Malaisance. 👈 Ce n’est pas au choix, ici c’est “all inclusive”. Mais au bout d’un moment les précautions médicales, tu les connais. On peut même dire que j’étais devenue experte 😤 et me mettre un ovule était devenu un geste de routine.

« Je rêve où tu frimes d’être la reine des IST ?
— Tu ne rêves pas.
— Mais…
— On se console comme on peut. Et laisse-moi continuer au lieu de faire du blog-jacking ! »

aparté informatif

Certaines IST (Infections Sexuellement Transmissibles) ont la joyeuse idée de déclencher ou faciliter les mycoses vaginales et/ou vulvaires… ouais pas de bol. Donc il faut traiter l’IST, mais aussi sa copine lourdingue : la mycose. Assez rapidement, tu comprends que les mycoses, OK, c’est bénin, mais faut pas négliger le machin. D’autant que c’est désagréable as fuck… enfin ouais d’ailleurs particulièrement pendant le “fuck”, justement. Mais pas que. Donc plus vite c’est soigné, plus vite on retrouve son petit confort et tout le reste redevient plus agréable. Généralement, ça se traite avec un ovule vaginal antifongique… ce qui est bien avec ce nom, c’est que tu vois tout de suite comment ça s’utilise. Faut pas vous faire un dessin !?

Apparemment, si, il faut…

Il faut apprendre à connaitre ces trucs-là. Pour vous, les meufs, et pour vous aussi, les mecs. Aller hop, des petits liens utiles.

À cette époque, je vivais toujours chez mon père. Et ce soir-là j’étais, tranquillou, allongée dans mon lit avec mon mec de l’époque. J’étais prête à m’envoler pour les pays des rêves et tout, et tout.

On ne se méfie jamais assez des moments de calme. On aurait été sur le Titanic, l’orchestre aurait été en train de jouer pendant que je regardais les icebergs défiler au loin, emmitouflée dans une couverture et ça aurait été trop romantique et chill1. Mais on ne se méfie jamais assez des moments de calme.

Quand soudain…

Je sombrais donc mollement dans les bras de Morphée et de mon mec en même temps2, quand soudain, une illumination : j’ai oublié de mettre ce putain d’ovule pour l’IST !

Rhaaa misère…

Je me relève donc – Leonardo DiCaprio m’accompagne – , vraiment dans le coaltar3, presque dans un rêve, mon corps, machinalement, se dirige – en longeant les coursives du transatlantique géant – vers les toilettes où je m’assoie et insère l’ovule.

Et là, une douleur fulgurante, immonde.

Léo, mec, je crois qu’on a touché un iceberg !

J’ai l’impression qu’on vient d’insérer dans mon appareil génital des aiguilles.

Je hurle.

Accourant devant les toilettes, mon mec et mon père. Oui. Mon PÈRE . Et il me demande ce qui se passe. Mais j’en sais rien moi ce qui se passe. Ya deux minutes j’étais sur le pont du plus grand paquebot du monde avec Léo, gros ! Donc, là entre les hurlements et la douleur, je leur demande de se casser.

Je ne peux pas gérer deux mecs (dont mon père, oui) devant la porte + moi nue + la douleur… ah oui, bien évidemment j’avais mes règles, je ne vous l’avais pas dit ? Donc ajoutez ça à l’équation précédente. J’ouvre donc la porte, nue, les mains pleines de sang et sans doute ébouriffée, mais on s’en fout.

Mon paternel et ma moitié décident alors par je ne sais quel truchement intellectuel que j’étais incapable de saisir de se rapprocher . Moi, je les repousse en les tartinant avec un peu de mon sang et m’enferme dans la salle de bain. « Laissez-moi gérer, je reviens vers vous. »

Note

Relisez maintenant ce paragraphe en imaginant que je viens de me faire mordre par un vampire et que je me transforme. Marrant, hein ? Comme ça marche bien, hein ? 😉🧛

Acte 2 : Dans la salle de bain

Leonardo, aussi cracouillant qu’il puisse être, n’est clairement pas la personne idéale pour me tenir compagnie. Je serai donc accompagnée maintenant de Kate Winslet.

Je me calme.

L’environnement joue beaucoup. Genre, vous êtes plus à poil face à votre padre. Tout de suite, le zen vous semble plus atteignable.

Je suis calme.

Sous la lumière crue de la salle de bain, avec un peu moins de sang et enfin seule. La douleur commence à passer et je décide donc de m’examiner : OK, c’est pas si pire que ça… sauf que… c’est bizarre, je viens de mettre un ovule, mais il n’est pas là.

Petit moment où je l’imagine trônant dans le couloir attendant qu’un de mes compagnons masculins traumatisés ne glisse dessus pour bien finir l’affaire. Sauf que nan.

Car c’est là que j’ai une vision qui aurait dû me faire perdre un peu de mon calme tout neuf :

« Kate, je crois que l’ovule est dans mon urètre.
— Tu ne veux pas plutôt parler de mariage arrangé et de beau gosse de 3e classe qui dessine des dames toute nue.
— Nope, là je pense plutôt à mon ovule.
— Tu ferais mieux de te sortir ça de la tête.
— J’essaye déjà de le sortir d’ailleurs, louloute.
— Je serais toi je paniquerais quand même, juste par souci de cohérence avec la situation. »

Franchement, Kate Winslet vous dit de paniquer, vous faites quoi, vous ?4

Donc, là, oui, je panique.

C’est Kate qui a dit

Dans ce genre de situation5, l’important c’est d’être organisée. Donc checklist :

1️⃣ Hurler. ✅
2️⃣ S’enfermer dans la salle de bain. ✅
3️⃣ Demander son avis à une personne imaginaire, mais rassurante…

« Kate, tu aurais quelque chose de constructif pour moi ?
— Va jusqu’à l’arrière du bateau !
— Je vais prendre ça pour un “non”. Te vexe pas. »

3️⃣ …✅ aussi donc.
4️⃣ Demander leurs avis aux mâles présents… vu leur passif jusqu’à présent, je ne suis pas sure que ça soit de nature à me rassurer. ❌
5️⃣ Tenter de retirer le machin 👈, mais pourquoi je n’ai pas tenté ça en premier ?

J’ai donc entrepris de retirer le corps étranger de mon corps à moi. C’est ainsi que j’ai découvert que la physiologie humaine ne permettait pas de faire des aller-retour dans mon urètre aisément. En même temps, je m’en doutais un peu, mais on va dire que c’est mon côté Saint-Thomas…

5️⃣ ❌, ❌, ❌ et re ❌ donc

Quand on a tout essayé, il ne reste plus que la solution simple et évidente…

6️⃣ Envoyer un mail en urgence à sa gynéco et passer la voir dès le lendemain matin ✅

Bon, voilà, ça c’est fait

Après avoir jeté cette bouteille à la mer électronique, j’ai fini par sortir de la salle de bain, fendant la foule, toujours constituée de mes mâles compagnons hébétés, direction mon lit. Je m’y suis effondrée. Kate ne m’a même pas suivie. Quand même vos fantasmes ne vous suivent plus, c’est vraiment que soit vous vous déplacez trop vite soit vous être vraiment KO. Moi, c’était le KO.

Moi je suis l’épouvantail

La vie c’est plus compliqué que ça…

Des fois, on voudrait libérer toute sa journée et se laisser du temps pour faire les choses importantes comme, par exemple, retrouver un ovule perdu. Et des fois, on a une vie un peu trop compliquée pour ça…

En effet à cette période-là, je suis dans un moment de ma vie où je n’ai aucune fichue idée de ce que je vais en faire… de ma vie, je veux dire. Donc, initialement, le programme de ma journée, c’était de passer un test de personnalité à la mission locale histoire de… euh… nan franchement je sais pas histoire de quoi. C’était d’ailleurs tout le problème.

Moi à ce moment-là

Je me réveille donc avec cet objectif en tête… et un ovule en fouffe. J’appelle donc dès potron-minet6 ma gynéco. Et celle-ci me rassure tout de suite : il est physiquement impossible que j’aie inséré mon œuf de caille antifongique dans mon urètre. Je suis assez perplexe parce que ça veut dire que je l’ai fourré ailleurs.

« Et vous n’êtes pas une dinde, ma chère demoiselle. On ne vous fourre pas comme ça.
— Faudra que je vous présente mon ex… Nan, mais… vous êtes qui ?
— Edward Smith. Capitaine Edward Smith. À votre service et à celui de Sa Majesté. »

Le grand marin à barbe blanche me salue de manière assez formelle tout en tapotant sa pipe sur le rebord de la table de nuit. Apparemment Léo et Kate étant occupés dans une voiture “toute pleine de buée”, mon compagnon du jour serait le capitaine du Titanic. Sans doute mon inconscient voulait-il me préparer à une forme de naufrage… ou alors j’ai un kink obscur sur les vieux barbus à l’accent british assez prononcé.

Ma gynéco m’a quand même fixé un rendez-vous en fin de matinée pour faire un checkup “juste au cas où”. En attendant, pour ne pas me morfondre sur ma chatte, je décide d’aller à ce test de personnalité.

Je me dirige donc vers la mission locale comme un gros canard apeuré. Toujours accompagné de mon capitaine british. Les jambes écartées, je tente de marcher dans la rue… où ma démarche attire assez rapidement le regard du public parisien.

« Votre démarche n’est pas celle d’une Lady. »

Léo, tu me manques…

Arrivée à ma destination, le palmipède que je suis devenue se met à errer difficilement dans les couloirs et, une fois arrivée dans la salle d’exam, je m’assois, je tente de m’assoir. Tout aussi difficilement.

Et me voilà face au questionnaire qui va déterminer mon avenir, comprendre qui je suis, me révéler mon moi intérieur et le secret des pyramides. Bref, je tortille du cul face à un bout de papier. Vu comment je suis un peu paumée à ce moment de ma life, il faut que je m’applique face à mon psy de papier. Au passage, je remarque quand même que ça manque d’un divan, les psys, dans les films, ça a toujours un divan, là que dalle. Mon psy étant imprimé sur du papier 80g, je me serais contentée d’un divan en origami vu l’inconfort fessier total de ma situation ça aurait été un minimum.

Quand ton futur dépend de ce que tu as dans la tête et que la seule partie de ton corps qui accepte de s’exprimer est à l’autre extrémité de ton anatomie, tu sais que tu commences à toucher le fond. Genre, tu vas finir technicienne de surface sur un porte- avion si tu ne te concentres pas, ma vieille, pensais-je sans doute un peu trop fort…

« Ah ! Vous envisagez ma Marine ?
— Euh… nan pas vraiment Edward… enfin mon Capitaine 🫡
— Capitaine ira très bien.
— OK. Mais… euh… vous savez, je n’ai pas vraiment pensé à rentrer dans la Marine…
— Moi, j’ai commencé à travailler dans une forge industrielle dans le Staffordshire à 13 ans.
— À 13 ans 😱 ?! Paye ton travail des enfants, gros !
— C’était en 1863 en même temps. Et je préfère “Capitaine” à “gros” si cela ne vous dérange pas.
— Je vais essayer… »

En fait le parcours du loulou loup de mer m’intéressait un poil plus que mon test de personnalité. Et ça m’évitait de penser à des trucs du genre « Nan, mais là, si je twerk sur ma chaise, ça ne peut pas être pire niveau sensations que maintenant ? » donc je relance la conversation avec mon barbu compagnon ! Tout en avançant dans mon test de personnalité.

« Mais comment êtes-vous passé d’ouvrier sur une presse industrielle à capitaine de paquebot géant spécialiste des gros glaçons ?!
— À 17 ans, j’ai suivi mon demi-frère pour entrer dans la marine marchande. Je n’étais pas trop mauvais, alors j’ai obtenu mon brevet de capitaine au long cours et j’ai eu mon premier navire à 37 ans pour la White Star Line.
— Tu as beaucoup hésité dans ta carrière ? Genre, tu t’es posé beaucoup de questions et tout ?
— Bah… nous, on ne se posait pas trop la question au XIXe, hein 😅. Entre la révolution industrielle et les crises économiques, tu faisais ce que tu pouvais pour ne pas finir dans la rue à vendre son cul. »

Remarque qui me ramena au mien, de cul que j’allais pouvoir lever de mon inconfortable chaise, car j’avais fini le test.

Vous voulez connaitre le bilan ? Eh ben, vous voyiez, cette discussion fictive avec un perso historique mort depuis plus d’un siècle a été plus productive que ce putain de test de personnalité. Ce test ne m’a bien évidemment jamais servi à quoi que ce soit. Vraiment, j’insiste, pas une seule fois.

PAS UNE SEULE PUTAIN DE FOIS

Dernière ligne droite

Je sors et me dirige enfin vers ma gynéco… Bon, je ne vous refais pas le dessin du trajet, ma démarche n’ayant pas des masses évolué au cours de la matinée, la foule parisienne put assister à l’épisode 2 de sa série à sensation : moi qui tente de me déplacer d’un point A à un point B.

Netflix and chill devant mon cul

Arrivée au lieu de ma délivrance, ma gynéco m’ouvre et rigole en m’accueillant. Direct, elle me rassure.

« Booooon, on va examiner. »

Elle a une petite voix un peu trop enfantine en fait. Mais après ma nuit, j’avoue, même ça, ça me réconforte un peu. Je pose mon sac, je me désape tranquillou histoire d’assurer l’accès à la zone de crise.

« Ne vous inquiétez pas… »

Elle a un grand sourire. Et, c’est bête, mais ça joue dans ces situations. Elle m’explique un peu les contraintes techniques qui font que vagin et urètre on est sur deux diamètre et capacité de dilation foooooort différente. Je m’installe donc un peu plus détendue et écarte les jambes.

« …puisque ce n’est paaaaaaas possiiiible »

Son regard. Sa stupéfaction. Et enfin sa petite voix, plus aussi assurée que deux secondes avant :

« Eh bah… écoutez… je ne savais pas que c’était possible. »

Clairement, j’étais le cas pas prévu, le truc qu’on ne t’explique pas à la fac de médecine. J’étais son entrée brutale dans un épisode de Dr House.

It’s a lupus ! (nan, rien à voir)

C’était la première fois de sa carrière qu’elle voyait ça ou même entendait que c’était possible. Autant vous dire que ça l’a marquée, moi aussi, forcément… On s’entend super bien depuis ce moment magique 🦄. Et à chaque fois qu’on se revoit, je lis un peu de fascination dans son regard…

Mais, comme dirait MC Jean Gab’1, “Moi j’reste concret” et il faudrait arrêter de s’émerveiller sur les capacités de gymnaste de ma foufoune et essayer de me donner à moi et à mon ovule une porte de sortie. Ma nouvelle adoratrice commence alors l’explication technique.

Il y a deux options, soit on aide l’ovule à se dissoudre “sur place”, auquel cas j’aurai une belle infection urinaire que l’on va traiter… euh ouais… elle me plait moyen l’option number one. C’est quoi le plan B déjà ? Bah sinon on doit m’opérer dans les 24h pour retirer manu militari7 l’objet du délit de mon urètre.

Sur le moment, je suis assez mitigée. J’aurais aimé une option à base de crème de corne de licorne qui permette de retirer le machin de mon corps sans me coller une infection ni qu’une équipe de chirurgie ne vienne farfouiller dans une partie de mon anatomie que j’aimerais réserver à une quelques happy few que j’aurais pu sélectionner moi-même.

Épilogue

Je sors donc du cabinet – avec la voix off de Kate Winslet version mamie qui raconte que j’ai choisi l’option 1 – et je rejoins mon mec sur les bancs à Nation et je lui explique tout. Et j’avoue que là je réalise que ma vie sexuelle n’a jamais été au fond du gouffre : à ce moment précis, j’ai une IST, une mycose, une infection urinaire et mes règles (et je n’ai pas revu Leonardo DiCaprio depuis hier, mais c’est un autre problème).

Oserais-je tenter la comparaison avec un naufrage en plein océan, avec un gros iceberg ? Non… je vous laisse ce soin 😉.

J’ai mis un peu de temps à me remettre de mes émotions, mais finalement tout est bien qui fini bien : pas d’opération en urgence, tout s’est très bien soigné et tout. Depuis, et pour plein d’autres aventures dans cette aire de mon corps, mes copines m’appellent souvent avant de prendre rendez-vous avec leur gynéco… l’expérience, ma bonne dame, ça sert !

C’est finiiiiiiiiiii

Note de PYM

C’est la première histoire d’une “invitée” sur ce site. Elle a été écrite à 4 mains, mais vécue par J. (mon anatomie ne me permettant absolument pas de vivre cette aventure, vous vous en doutez). J’espère que cela vous a plus… il y en aura bientôt de nouvelles.

Moi, ma chère J., je te décerne, le plus officiellement du monde, la 🏆Gynéffoufe d’Or🏆 et tu apparaitras ainsi dans le répertoire de mon tel !

Mea culpa de PYM

Mea culpa, mea maxima culpa ! Dans la première version mise en ligne de cet article, je parlais de Kate Blanchet qui joue Galadriel dans la trilogie du Seineur des Anneaux… mais en fait c’est juste ma mémoire de foireuse des noms : il s’agit bien de Kate Winslet qui joue bien dans Titanic ! C’est la plus gentille des Licornes du Chaos 🦄 qui l’a remarqué et m’a permis de corriger très très vite cette impardonnable erreur.

Crédits photo

Notes de bas de page

  1. Oui, chacun ses trips… et puis qui se respecte et n’a pas vu Titanic plus d’une fois ? Moi je me respecte, je me respecte au moins trois fois même !↩︎

  2. Non, ce n’est pas un plan à trois, bande d’incultes ! Morphée, le dieu antique du sommeil et des rêves. Et aussi le héros de l’excellent Sandman, c’est bon, mangez-en !↩︎

  3. Ouais, ça s’écrit vraiment comme ça ! Ça vient du goudron de houille, le “coaltar”, qui vient de l’anglais “coal” = “charbon” et “tar” = “goudron”… un truc bien épais et duquel tu as du mal à te sortir. Ouais, on apprend des trucs avec J.↩︎

  4. Cette question est purement rhétorique, mais si vous voulez y répondre il y a les commentaires pour ça↩︎

  5. Si vous avez la moindre idée de quel autre incident rentre dans “ce genre de situation”, je suis assez curieuse de savoir…↩︎

  6. Le matin tôt quoi…↩︎

  7. Rien à voir avec Macron, je vous rassure.↩︎

Réutilisation